Depuis le début du mois de janvier, j'ai repris (en même temps que mon nouveau job), les babysittings en force. Et il m'est apparu qqe chose. En 3 soirs, j'ai fini mon livre commencé il n'y a pas si longtemps cette semaine.
Parce que quand les enfants sont couchés à 8h, qu'ils dorment et que le ou les tuteurs rentrent vers 23h, je me retrouve avec 3 heures de lecture. Forcées. Forcée de me dire que là, rien ne peut me déranger, à part le réveil d'un des (charmants) bambins.
Alors je prie pour que le petit garcon n'aura pas la bonne idée de faire un caprice et de refuser de dormir. Que la petite fille voudra bien enfin lâcher ma main et s'endormir. Pour que le voisin n'aille pas jeter sa poubelle de verre à 22h en faisant apparemment le plus de bruit possible pour réveiller le bébé qui va vouloir avoir son biberon de 23h. Ou alors je remercie les deux grandes que je garde, d'adorer la lecture et de rester à côté de moi sur le canapé toutes les trois à bouquiner.
Alors j'appelle mon frère qui habite à Dresden, nouvelle tradition. On rit un peu, on échange les dernières nouvelles, je me fais un thé, je m'enveloppe dans un plaid, et je savoure mes heures de lectures forcées jusqu'au retour des parents.